mardi, septembre 19, 2006

La question

Je pose la question : peut on laisser notre République au main d'une femme qui se mets à genous devant Zapatero, le caniche d'Al-Qaîda ?

Cette femme est un danger pour la démocratie.

dimanche, mai 22, 2005

Comme c'est triste..

Au PS, les «camarades» ne se font plus de cadeaux

Nicolas Barotte et Myriam Lévy
[21 mai 2005]

Ecartelé entre le oui et le non, le Parti socialiste est dans tous ses états. A tous les niveaux, du parlementaire au militant de base, la division du parti entre partisans et adversaires de la Constitution européenne est vécue comme une véritable déchirure, qui brise des amitiés parfois trentenaires. «Au sommet, on ne se parle plus. A Solferino comme dans le gang du non, on ne se rend pas compte de l'état de la base. C'est épouvantable», constate un élu parisien, qui redoute, après le 29 mai, une hémorragie de militants dégoûtés. Dans les départements où le secrétaire fédéral défend le non, les partisans du oui se font discrets. Et vice-versa. Chacun s'épie, cherche la phrase blessante dans le camp opposé, et réplique au quart de tour. Le président de la Région Bourgogne, François Patriat, partisan du oui, s'étonne que, le 10 mai, le député de Château-Chinon, Christian Paul, partisan du non, ait rendu un hommage public à François Mitterrand. «C'est bien la première fois depuis qu'il est élu», lance-t-il, furieux.


Le site Oui de gauche, lancé par le porte-parole du PS Julien Dray, tape sans retenue sur Laurent Fabius. «En acceptant de se rendre jeudi dernier au dîner-débat de l'Académie du gaullisme comme invité d'honneur, il a fait de Jean-Pierre Chevènement un «petit joueur» en matière de collusion avec le souverainisme de droite», lit-on en première page. Le site frère ennemi, Non socialiste, n'est pas en reste. Au moment où Hollande propose de lancer, dès l'adoption de la Constitution, une pétition à la Commission européenne pour obtenir une loi sur les services publics, il lance un nouveau slogan : «Droit de pétition, piège à moutons.» A Toulouse, la semaine dernière, Jean-Luc Mélenchon n'y est pas allé par quatre chemins : «Vous tenez le balai : à 50%, c'est le texte de la Constitution qui part à la poubelle, à 55% celui qui l'a signé, à 60% tous ceux qui l'ont soutenue.» Une phrase particulièrement appréciée à la direction du PS.


Dans un parti où tout le monde est camarade, il faut désormais savoir que l'on n'a pas que des amis. Un dirigeant du PS a développé une méthode qu'il dit «imparable». «Pour savoir s'il y a des partisans du non dans une salle, je glisse dans mon discours un argument choc : je dis que ceux qui votent non votent comme Le Pen. C'est automatique : ils se lèvent tous pour protester. Comme ça, je sais à qui j'ai affaire.» Les partisans du oui, qui pensaient avoir remporté la partie après le référendum interne, sont ulcérés d'être accusés de ne pas être de gauche parce qu'ils votent comme le gouvernement. Et supportent mal de voir des militants d'extrême gauche coller des affiches du «non socialiste».


Au sommet, le secrétariat national continue de se réunir rue de Solferino tous les mardis. Partisans du oui et du non s'y côtoient. François Hollande et Laurent Fabius se disent à peine bonjour. Mais cette instance n'est plus qu'un théâtre d'ombres : les décisions se prennent désormais lors de la réunion du comité de campagne du oui, ou, mieux encore, de manière informelle, dans le bureau de Hollande. Martine Aubry est l'une des plus virulentes à l'égard de Laurent Fabius, auquel elle jure qu'elle n'adressera «plus jamais la parole». Jack Lang, qui fut proche de l'ancien premier ministre, fait part aujourd'hui de sa «tristesse» : «Ça dépasse l'entendement.» Celui qui fut l'un des plus virulents pour dénoncer les propos de Fabius sur les Polonais lâche : «La politique, ça ne se fait pas au niveau du trottoir.»


Sur les marchés, les partisans du oui disputent leur coin de rue à ceux du non, comme des marchands de muguet un 1er mai. Des deux côtés, on affirme, sans trop y croire, que le moment venu tout le monde saura se retrouver pour l'intérêt du parti. Mais des combats aussi acharnés laissent toujours des traces.

jeudi, mai 19, 2005

Dumping social

"Dumping social", encore une expression qui ne veut rien dire.
Le dumping est la vente à perte. Qu'est-ce que ce serait du social à perte ? Que le salarié paye son entreprise pour son travail ????
Ensuite, le "dumping fiscal", c'est la même chose. C'est quand l'Etat subventionne une entreprise au lieu de préléver des impôts dessus. Il n'est pas certain qu'avec 25% de la population française vivant ainsi les socialistes aient interet à dénoncer le "dumping fiscal".

Ah mais, nous diront les socialistes, c'est quand les salaires sont moins élevés.
Diable, des salaires moins élevés ? Nous français devont faire subir un terrible "dumping" des USA et autres Britaniques alors ! D'ailleur nous leur piquons tous les jours des millions emplois, c'est bien connu. Non ?

-Non, non, la différence des salaires est beaucoups plus élevées, comme chez les Chinois !
Et bien justement, puisque vous êtes pour le partage des richesses et autres solidarités, c'est l'occasion de partager votre richesse avec ces brave gens qui sans doute, gagnent plus en France que chez eux. Logique, non ?
D'ailleur, cela rend moins chére des tas de produits et services, qui devienent alors accessible aux moins riches d'entre nous. C'est donc une bonne chose. Voila de la Justice Sociale ! D'ailleur dans une optique marxiste, on peut affirmer, sans risque, que, si un français gagne 5 fois le salaire d'un polonais, c'est parce que ce français vole ses clients. Fumier de salariés !

-Oui mais non, le dumping fiscal, c'est quand un Etat préléve moins d'impôt qu'un autre Etat parce qu'il fait moins de social.
Ah ? Il y a une obligation de faire du "social" ? Depuis quand ? Si moi je décide de roupiller jusqu'à midi, ca doit devenir obligatoire pour tous le monde ? En quoi est-ce du "dumping" ? Si je décide de "profiter de ma jeunesse" (NTM !), de ne pas me "prendre la tête avec mes études" (Yo man !), de ne pas vouloir "être exploité pour du fric" (T1 !), est-ce que ce sont les autres qui plus tard vont me faire du "dumping social" en m'écrasant aux concours de l'éna et HEC ?


-Mais non, c'est que forcément, la concurence va provoquer une baisse des droits sociaux.

La France est au sommet du taux de prélévement obligatoire des pays OCDE, et aux derniéres nouvelles, on n'est pas moins pauvres en France ou mieux soigné qu'ailleur. Pire même (d'un point de vu socialiste, puisque moi, je suis contre ces lubbies) les inégalités sont trés comparables à celles existantes aux USA.

Maintenant les "droits sociaux", ce n'est jamais que du salaire versé que l'Etat préléve pour le rendre au salarié. La question est donc : est-ce que la concurence fait baisser les salaires ? La réponse est évidente : la concurence oblige à faire des gains de productivité ou à lancer de nouveaux produits pour échapper provisoirement à la concurence; C'est donc un facteur de hausse du pouvoir d'achat, ou/et d'inovation, donc des salaires et du niveau de vie.


Conclusion : Si la France veut bruler des milliards à faire vivre des parasites sociaux et taxer à mort ses habitants, ce n'est pas le reste du monde qui en est responsable. Les parasites l'on bien compris.

La Turquie renvoyée chez les grecs

Les petits gars du "oui" racontent de plus en plus n'importe quoi !

" Se défendant de tout «catastrophisme», le ministre des Affaires étrangères Michel Barnier soutient la stratégie Raffarin : «Si l'Europe est affaiblie par le non français, les politiques européennes le seront aussi. Allez dire aux agriculteurs français ou aux départements d'outre-mer qu'ils doivent se passer de la PAC et des aides régionales», lance-t-il."

Ah Ah Ah Ah Ah ! Alors comme ca, le "Non" suprime la PAC et les aides régionales ? Comment refuser le TC peut-il suprimer le Traité de Nice ? Barnier nous prend vraiment pour aussi con que lui, ce n'est pas possible autrement !
Ce type s'est trompé de camp au début de sa carriére..


Plus amusant pour ceux qui comme moi font un paris politique, celui de l'arret net de l'entré de la Turquie chez nous en cas de victoire du "non", qui bien sur, n'a aucun rapport avec de référundum, Joachim Fels, économiste spécialiste de l'euro à Londres, pour la banque Morgan Stanley déclare :

"Les véritables craintes à court terme se portent sur les monnaies des pays candidats à l'entrée dans la zone euro (Chypre, Lettonie, Malte) dont l'admission serait compromise par une victoire du non au référendum français. Les marchés s'attendent à une chute de la livre turque dans une telle hypothèse, l'entrée d'Ankara dans l'Union paraissant alors de facto renvoyée aux calendes grecques."



Notre gambiste en profite pour ajouter que les "marchés sont encore bien trop complaisants vis-à-vis des fractures politiques grandissantes en Europe. Les attitudes protectionnistes et anticapitalistes augmentent dans plusieurs États, plus particulièrement en Allemagne et en France"

Bref, à force de brailler contre le libéralisme, de faire croire aux gens qu'il existerait des "solutions" contre la liberté, nos héroiques anti-libéraux vont finir par effrayer les investisseurs. Veut-on que les états recommencent leur politique économique des années 1929 qui à conduit là où l'on sait ? Quand donc le marxisme en France ne sera-t-il plus la pensée et l'impensée dominante ? Cela va-t-il prendre 2, 3 générations ? Franchement, j'ai l'impression d'être en URSS en ce moment !
La propagande contre le capitalisme et le christianisme semble être le seul discours possible des élites auto-proclamés.

Pourtant ceux qui conspuent les croyants à cause de leur religion irrationnelle sont souvent eux même dominé par une théorie scientifique réfuté continument depuis plus de deux siécles ! Qui est le plus irrationnelle des deux ? Celui qui sait qu'il croit, ou bien celui qui croit qu'il sait ? Il est vrai que la haine est plus solide que l'amour, et la pensée de gauche est tout entiére basé sur la haine. D'ailleur le fait de traiter le nouveau Pape de Nazi prouve bien qu'il existe une concurence, dans l'esprit de la gauche en tous cas, entre leur marxisme et la religion catholique. Autrement dit qu'ils sont sur le même terrain intellectuel. C'est montrer à la face du monde que la gauche est une religion concurente du catholicisme. Et ce sont ces gens là qui devrait "organiser" l'économie ?! Allons donc !

lundi, mai 09, 2005

Chirac : la décennie perdue

Depuis Mai 81, la France à pris le chemin menant à la décomposition. Décomposition de notre économie, décomposition de notre puissance, décomposition de notre société.

On aurait pu croire que les Utopies socialistes enfin abandonnés avec la fin de Mitterand et du camps de la mort, la droite allait faire opérer un retour au réel à nos français. Il n'en à rien été, et cette décennie ne fût qu'un approfondissement de la "3éme voie" Mitterandienne. Pendant ces 10 ans, les impôts et les fonctionnaires ont augmenté au delà du raisonnable, plongeant notre économie dans une asphysie structurelle. Notre croissance fût de 1% inférieur par an à la moyenne des pays de l'Union -sans même évoquer le cas douloureux des USA. Notre productivité à patiné, si bien qu'aujourd'hui les USA nous ont ratrapé. En moyenne, un ouvrier français de l'industrie gagne 1000€ de moins qu'un ouvrier britanique. Nos systémes sociaux sont aux crépuscules de leurs vies, la dette public telle que nous devons emprunter pour pouvoir payer les interets. Bien sur le chomage de masse à maintenue globalement son niveau de 10%.


Incapable de financer ses missions prioritaire, l'Etat à abandonné notre armée. Avec 16.000 hommes en opération, nous sommes aux maximum de nos possibilités réels. Un scandale quand dans le même temps la GB alligne 45.000 hommes en Irak. S'imagine-t-on qu'on fait de la diplomatie sans de solides arguments ? C'est là l'opinion d'un esprit inéduqué à l'école de l'histoire. De même avons-nous perdu de grandes entreprises, passées aux mains de l'étranger. C'est que nous n'allions tout de même pas favoriser la retraite par capitalisation. Tant pis pour les salariés français, qui seront évidement les premiéres victimes d'une éventuelle restructuration, et surtout tant pis pour la puissance de la France. De même la recherche fût sacrifié sur l'autel de l'égalité. Les entreprises, assomés par les charges, découragés d'investir, tandis que la recherche public se ridiculisait dans les classements internationaux. Grâce à cette politique socialiste, la moitier de nos chercheurs trouvent maintenant aux USA. Enfin, une bande de communistes poilues venue des ages fascistes acheva de détruire un secteur, la biogénétique, qui un jour dépassera en valeur et emploi le secteur de l'informatique. Les USA remercient beaucoups Joseph Bové et son copain Noël Mamére. Etrange chez tous les faschistes cette habitude du poils.

Pendant ce temps là, l'immigration a agis comme un puissant acide sur notre société. Elle est maintenant multi-culturelle, et se réorganise entiérement sous nos yeux sur des bases sinon raciales, du moins racislistes. En vérité, favoriser l'immigration alors que des millions de français sont au chômage est une abération économique et politique. Ce ne peut avoir comme véritable but idéologique, derriéres les antiennes antiracistes, que la destruction assumé de la France. Peut être existe-il chez certains l'idée qu'une France plus peuplée sera plus puissante. C'est une erreur d'apréciation, basé sur le préjugé que les hommes sont tous égaux entre eux. Or la quantité n'a jamais value la qualité. Sinon, l'occident n'eut jamais été hégémonique. La France se vide par le haut et se remplie par le bas. Par ailleur à l'heure de la mondialisation, faire venir des travailleurs/chomeurs chez soi n'a aucun sens : Est-ce que le Japon à organisé une immigration de millions de français pour sauver Nissan ? De millions de Chinois ou de Malais pour faire fonctionner son économie ?
Remercions aussi les géniaux réformateurs Marxistes de l'éducation nationnal, qui ont, par le pédagogisme, l'abaissement du niveau et l'IUFM, formé des tripotés d'abrutis incultes persuadés d'avoir "l'esprit critique" et "la Culture". Il y a bien pire pour la société qu'un ignorant : celui qui crois savoir.


Chirac n'a fait que poursuivre et encourager cette politique; Il a trahi ses electeurs, son camps, et laisse la France dans un plus mauvaise état qu'il ne l'avait recu. On n'eu pas cru cela possible en 1993/95.

mardi, mai 03, 2005

Le pouvoir d'achat salarié stagnerait depuis 25 ans en France

Superbe exemple de propagandastaffel Marxiste. Merci "Libération" !
Quand je penses que c'est grâce à des gens comme cela que le comique troupier reste un genre si vivant dans notre beau pays.


jeudi 28 avril 2005 (Reuters - 23:47)


PARIS - "Le pouvoir d'achat des salariés affiche une "quasi-stagnation" depuis la fin des années 1970 et "la condition salariale est comparable à ce qu'elle était il y a un demi-siècle", selon une étude du CERC-Association.


Bienvenue dans la 4éme dimensions. Le pouvoir d'achat du salaire net annuel moyen en euros constants de 2000, d'aprés l'INSEE passe de 1979 à 2001 de 17 480€ à 20 321€.
2841€ de plus, ca baisse à mort, donc..



"Les récentes revendications salariales ne sont pas le fruit d'une illusion d'optique liée à l'annonce de profits boursiers records", écrivent les auteurs de l'étude, publiée jeudi.

"Profits boursiers records", alors que la bourse ne s'est toujours pas remise du krack des valeurs internets ? Je supose que ca doit être l'annonce des profits de certaines entreprises du CAC40, 2 ou 3% par rapport au capital. Certes c'est moins bien que la caisse d'épargne, mais puisque c'est du "profit", c'est mal.



"Aujourd'hui, la place des ménages de salarié ou de chômeur dans l'échelle des niveaux de vie est comparable à celle qui prévalait au milieu des années 1950."

Changement de sujet, aprés le pouvoir d'achat en baisse, les inégalités.
Qu'est-ce qu'on en a à faire de l'inégalité ?



"Cette baisse traduit, en partie, l'amélioration du niveau de vie relatif d'autres catégories de ménages, notamment des retraités", estiment les auteurs, qui considèrent cependant que "l'explication majeure réside dans l'envolée des revenus du patrimoine".

Un peu de lutte des classes ? Pourquoi n'a-t-on pas lu dans les année 70 que la baisse des retraites et des revenues du patrimoine avaient comme explication majeur l'envolée des revenus des salariés ? Au reste, comme on sait, c'est la principale raison de la crise de 1973 à 1986 : le choc pétrolier ne fut qu'un détonateur.



"Pour la majorité des salariés, qui ne peuvent compter que sur les revenus de leur travail, le niveau de vie relatif a considérablement chuté depuis 20 ans", affirme l'étude.

Niveau de vie relatif, nous sommes bien dans la lutte des classes. Relatif avec quoi ? Nous n'auront pas l'information, sans doute parce que nous sommes trop stupide.
Il est évident pourtant qu'avec 10% (et plutôt 13%) de gens au chomage, la part des salaires versés baisses mathématiquement. En France les salariés coutent chéres, on les a remplacés par des machines, du capital, du patrimoine. Il n'y a rien de scandaleux dans cette situation. Remarquons d'ailleur que dans les pays Ultra-Libéraux comme les USA ,ou limite fasciste comme la Grande Bretagne, où le chomage est quasi nul, c'est exactement le phénoméne inverse qui à eut lieu, et la part des salaires à bondi à 70/75%.


En outre, depuis dix ans, "les prestations sociales ne parviennent plus à compenser ce mouvement".

Depuis quand les prestations sociales ont-elle pour but de favoriser l'égalité ?
Ou plutôt l'égalisation ? Car l'égalité, c'est comme les intégrales ou les racines carrés, un concept qui à peu de risque de s'appliquer à une société. Ou bien, cette égalité tant revendiqué n'est plus un concept, mais un mythe complétement irrationel, un songe, un conte, une illusion, qui ne sert qu'à justifier le vol de certains -assez nouilles pour l'accepter.


Depuis la fin des années 1970, "la progression du niveau de vie des ménages s'est considérablement ralentie" et "les salariés ont été les plus touchés par ce mouvement".

La progression du niveau de vie s'est ralentie ? Diable ! La Gauche à pourtant tout fait pour limiter la croissance économique de ce pays, productrice d'inégalité, alors, où est l'erreur ?



Les gains du pouvoir d'achat des salaires ont représenté 0,2% à 0,3% par an, des niveaux "largement inférieurs à l'évolution du niveau de vie moyen en France".

La détérioration a été très rapide dans la première moitié des années 1990, avant de marquer une pause à partir de 1997, pour reprendre en 2002 et 2003.


Reprise du gros délire.. Ca lasse..



"Cette quasi-stagnation du pouvoir d'achat du salaire net moyen est d'autant plus remarquable que le niveau moyen de qualification de la main-d'oeuvre salariée n'a cessé d'augmenter tout au long de la période", souligne l'étude.

Le rapport ? Si justement le niveau moyen augmente, il n'y aucune raison pour que le salaire moyen augmente. D'ailleurs utilisant le même argument, il est bien certain que le capital de 2005 est bien plus complexe, et de loin, que celui de 1970. Quand à la "quasi stagnation", ca doit faire hurler de rire même le plus socialiste des économistes.



En outre, la détérioration a touché tous les salariés, du secteur privé comme de la Fonction publique.

Délire total et bizarre venant de fonctionnaires qui a priori doivent bien connaitre leur systéme automatique de revalorisation des salaires -hors augmentations négociés, bien entendu.



LA DETENTION D'UN PATRIMOINE "DECISIVE"

A qualification constante, le pouvoir d'achat du salaire net moyen des salariés du secteur privé a légèrement augmenté (+0,2% par an) entre 1982 et 2002 tandis que celui des salariés de la Fonction publique a légèrement diminué (-0,1%) par an, soit en vingt ans un écart d'environ 7% entre le secteur privé et la Fonction publique.

Laisson donc la question du pouvoir d'achat réglé par l'INSEE.
Alors comme ca il y aurait 7% d'écart de croissance entre le privé et le public ? Toutes les études indiques que le salariés du public sont en moyenne payé 1000 FF de plus que ceux du privé. Mais bien sur, nos éminents experts sont scandalisés que la différence puisse se réduire. Une scandaleuse égalisation ?


"Si la moyenne des salaires a augmenté un peu plus vite (+0,6% à +0,7% par an), cela tient essentiellement au fait que les entreprises et les administrations emploient aujourd'hui davantage de cadres et de personnels qualifiés que par le passé."


Ca doit vouloir parler du public ? Le public est plus qualifier que le privé ? Le privé doit donc payer plus le public ? Parce que si on est plus qualifié, on doit être plus payé ? Et réciproquement ? On ne saurait exprimer avec plus de circonvolutions la réalité que vise "l'Egalité" : les moins payés doivent payer pour les privilégiers !




Enfin, selon l'étude, la détention d'un patrimoine est devenue aujourd'hui, plus encore que par le passé, un facteur décisif de sécurité économique.


Oui, faire des économies, c'est mieux. Mais à part en URSS, à toutes les époques et tous les pays, ca l'a toujours été ! Dans le même ordre d'idées profondes, il y a d'autres experts qui affirment que, de nos jours, il est mieux d'être en bonne santé que malade. Certes, puisqu'on explique toute l'année qu'économiser, constituer du capital, c'est Mal, puisse que le capital c'est Mal, il ne faut pas s'étonner aprés des résultats..



Depuis les années 1990, la progression des revenus de la propriété a été particulièrement dynamique, relèvent ses auteurs. Alors que les revenus du patrimoine représentaient 21,5% du total des salaires nets en 1978, cette part est passée à 30% en 1988 pour grimper à plus de 45% en 1998 et redescendre légèrement, aux environs de 44% en fin de période.


Exactement, et c'est l'oeuvre du tournant de 1983 du gouvernement socialiste que d'avoir rétablis ainsi les finances des entreprises. Avec ces 20%, elles étaient incapables d'investir. Comme disait un horrible socialiste (H.Schmitt), les profits d'aujourd'hui sont les emplois de demain..



"En proportion des salaires, la part des revenus du patrimoine a plus que doublé au cours des 25 dernières années alors que celle des prestations sociales monétaires a été multipliée par 1,5 environ."


Délire. pourquoi pas comparer le taux de croisance des prestations sociales avec celui du trafic routier pendant qu'on y est ? On se soigne mieux aujourd'hui qu'il y a 20 ans, et les retraités (vraiment mal lotti en 70) touche maintenant 1000FF par mois de plus en moyenne que les actifs.



Le CERC-Association (Connaissance de l'emploi, des revenus et des coûts) est née de la dissolution du Centre d'Etude des Revenus et des Coûts (CERC) en 1995 par le Premier ministre de l'époque, Edouard Balladur.


On à dissous ? Ca se comprend !



Initialement constituée de chercheurs de l'ex-CERC, l'association compte principalement des universitaires, des chercheurs et des représentants des partenaires sociaux. /DR


Voila donc où passe une partie de nos impôts ? Damned !



http://www.liberation.fr/page.php?Article=292996



Devant un tel anoncellement d'aneries, que dire ?
On ne rigole pas tous les jours autant en ce moment.
D'ailleur on a du mal à comprendre pourquoi des adeptes de la "lutte des classes" n'utilisent par leur belle théorie pour comprendre qu'une lutte, ca peut se perdre.
Et dans ce cas là, ils devraient en conclure naturellement que "Tout est normal".
Enfin, avec la Mondialisation, nous leur souhaitons bon courage pour arriver à piller les entreprises comme dans les années 68-83..



http://www.liberation.fr/imprimer.php?Article=292996
http://www.liberation.fr/imprimer.php?Article=292961



"Buvons un coup, buvons-en deux
A la santé de nos Messieurs,
A la santé du Roi de France
Et merde pour le Roi d'Angleterre,
Qui nous a déclaré la guerre !"

samedi, avril 02, 2005

Le Saint Pére est mort

Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II s’est éteinte, ce jour, à 21 h 37 dans sa chambre du palais apostolique du Vatican.

Dans une société où la mort est l'absolu tabou, le Saint Pére à offert sa mort au monde pour que nous nous souvenions de l'essentiel.

Il a toujours était une parole morale que l'on ne pouvait ignorer.
Il a toujours lutter contre le socialisme et pour la liberté.
Il a échappé à un attentat organiser par les Soviétiques et perpétré par un Islamiste Turc.

Il est mort à son poste, comme un vrai chef, refusant depuis plusieurs années d'être soigné correctement pour pouvoir accomplir sa mission, son devoir, qu'il à rempli sans faillir pendant 26 ans et 5 mois.


Nous sommes tristes..

lundi, mars 28, 2005

L'âme et les tripes

Depuis le 11 septembre : Islamisation de la France, Attentats, Dhimitude, Turquie dans l'Europe, Cassage de Blancs, hausse de l'immigration et aucune réforme de droite depuis 1988.

Je trouve un vif plaisir à écouter ces airs rudes mais de traditions que sont nos musiques militaires et nos chants traditionnels. Monsieur de Turenne, Cantique à Sainte Anne, Le Chant du départ, Marche de la Garde consulaire à Marengo, La Marche d'Austerlitz, Le Boudin, et toutes ces chansons issues de l'histoires et qui ont fait l'histoire. Contrairement à d'autre pays, notre littérature n'est pas nationalistes. Rien qui ressemble à Henry the V en Français. Ces airs, parce qu'ils parlent de la France et des Français sont comme les autres hymes nationaux de la France. Le fait qu'ils soient absolument pas Politiquement Correct "tout-le-monde-il-est-gentil-sauf-toi-qu'est-un-salaud-même-si-c'est-pas-ta-faute-Amour-Universel-Yo!" est bien sur un ballon d'air frais suplémentaire.
Oui, Je SUIS Français, Moi.


"Sainte Anne O bonne Mére,
(..)
Rends à la Noble France
Sa Gloire d'Autrefois
Fait grandir sa Puissance
à l'ombre de la Croix (..)
"


Le Chœur Montjoie Saint Denis


Chants Militaires
Marches Militaires



MAJ : Corrections liens Chœur Montjoie Saint Denis & Audiothéque de nos armées.