lundi, mai 09, 2005

Chirac : la décennie perdue

Depuis Mai 81, la France à pris le chemin menant à la décomposition. Décomposition de notre économie, décomposition de notre puissance, décomposition de notre société.

On aurait pu croire que les Utopies socialistes enfin abandonnés avec la fin de Mitterand et du camps de la mort, la droite allait faire opérer un retour au réel à nos français. Il n'en à rien été, et cette décennie ne fût qu'un approfondissement de la "3éme voie" Mitterandienne. Pendant ces 10 ans, les impôts et les fonctionnaires ont augmenté au delà du raisonnable, plongeant notre économie dans une asphysie structurelle. Notre croissance fût de 1% inférieur par an à la moyenne des pays de l'Union -sans même évoquer le cas douloureux des USA. Notre productivité à patiné, si bien qu'aujourd'hui les USA nous ont ratrapé. En moyenne, un ouvrier français de l'industrie gagne 1000€ de moins qu'un ouvrier britanique. Nos systémes sociaux sont aux crépuscules de leurs vies, la dette public telle que nous devons emprunter pour pouvoir payer les interets. Bien sur le chomage de masse à maintenue globalement son niveau de 10%.


Incapable de financer ses missions prioritaire, l'Etat à abandonné notre armée. Avec 16.000 hommes en opération, nous sommes aux maximum de nos possibilités réels. Un scandale quand dans le même temps la GB alligne 45.000 hommes en Irak. S'imagine-t-on qu'on fait de la diplomatie sans de solides arguments ? C'est là l'opinion d'un esprit inéduqué à l'école de l'histoire. De même avons-nous perdu de grandes entreprises, passées aux mains de l'étranger. C'est que nous n'allions tout de même pas favoriser la retraite par capitalisation. Tant pis pour les salariés français, qui seront évidement les premiéres victimes d'une éventuelle restructuration, et surtout tant pis pour la puissance de la France. De même la recherche fût sacrifié sur l'autel de l'égalité. Les entreprises, assomés par les charges, découragés d'investir, tandis que la recherche public se ridiculisait dans les classements internationaux. Grâce à cette politique socialiste, la moitier de nos chercheurs trouvent maintenant aux USA. Enfin, une bande de communistes poilues venue des ages fascistes acheva de détruire un secteur, la biogénétique, qui un jour dépassera en valeur et emploi le secteur de l'informatique. Les USA remercient beaucoups Joseph Bové et son copain Noël Mamére. Etrange chez tous les faschistes cette habitude du poils.

Pendant ce temps là, l'immigration a agis comme un puissant acide sur notre société. Elle est maintenant multi-culturelle, et se réorganise entiérement sous nos yeux sur des bases sinon raciales, du moins racislistes. En vérité, favoriser l'immigration alors que des millions de français sont au chômage est une abération économique et politique. Ce ne peut avoir comme véritable but idéologique, derriéres les antiennes antiracistes, que la destruction assumé de la France. Peut être existe-il chez certains l'idée qu'une France plus peuplée sera plus puissante. C'est une erreur d'apréciation, basé sur le préjugé que les hommes sont tous égaux entre eux. Or la quantité n'a jamais value la qualité. Sinon, l'occident n'eut jamais été hégémonique. La France se vide par le haut et se remplie par le bas. Par ailleur à l'heure de la mondialisation, faire venir des travailleurs/chomeurs chez soi n'a aucun sens : Est-ce que le Japon à organisé une immigration de millions de français pour sauver Nissan ? De millions de Chinois ou de Malais pour faire fonctionner son économie ?
Remercions aussi les géniaux réformateurs Marxistes de l'éducation nationnal, qui ont, par le pédagogisme, l'abaissement du niveau et l'IUFM, formé des tripotés d'abrutis incultes persuadés d'avoir "l'esprit critique" et "la Culture". Il y a bien pire pour la société qu'un ignorant : celui qui crois savoir.


Chirac n'a fait que poursuivre et encourager cette politique; Il a trahi ses electeurs, son camps, et laisse la France dans un plus mauvaise état qu'il ne l'avait recu. On n'eu pas cru cela possible en 1993/95.