dimanche, novembre 07, 2004

Ce fut une longue nuit

Ce fut une longue nuit.
Mais comme je l'espérais, (et le prévoyais) le Peuple américain, dans l'isoloir, à fait un choix, un bon choix. Kerry ne nous aurait apporté que des problémes. Son programme était d'impliquer la France militairement dans les affaires Irakiennes. Or nous n'avons plus d'armée : les français préférent les programmes sociaux à la liberté. Nous aurions donc été ridiculisés. L'heure de vérité recule donc.

C'est aussi un bon choix car il reconnait un homme qui a fait face au krak boursier des valeur internet -un krak plus violent que celui de 1929. Un homme qui à dû subir le 11 septembre. Un homme qui à dû affronter les affaires de type "Enron".Or l'économie US malgrés ces chocs terribles affichent une croissance insolente et un taux de chômage qui ridiculise l'Europe continentale. Enfin tout le monde reconnaitra que le monde est plus sur qu'il y a 4 ans, même s'il reste encore du travail.
Or ce choix s'est exprimé à travers un choix des valeurs. Pour un pays en guerre, c'est assez normal. Et ce choix, c'est celui, contre les moeurs décadentes, du devoir et de la morale. C'est veritablement la naissance d'une majorité éthique.



En France cette majorité existe virtuellement. Mais elle est pour l'instant baillonée. On comprend bien que le terrorisme intellectuel existant sert des interets. Il sert non pas à dissimuler, mais, et c'est la une perversité suplémentaire, à faire admirer au reste de la population la pourriture morale d'une partie de l'élite. Drogue, fiscalisme, homosexualisation, insécurité, vulgarités, terrorisme, censure, confiscation ou destruction de la propriété privé, principe de précaution, anarchisme, repentance, pacifisme, impuissance, immigrationnisme, écologisme, progressisme, exploitation d'un sentiment d'inégalité, culture de l'excuse et impunité, fanatisme anti-catholique, collectivisme, encouragement aux haines sociales, gaspillage et détournement d'argent public, destruction de l'identité française et de son école, socialisme, voila à grands traits ce qui domine culturellement aujourd'hui en France.

On peut penser que, tôt ou tard, les vrais français finiront par refuser cette situation. Ils fonderont un jour ou l'autre un courrant politique majoritaire, une majorité éthique. D'ou ma prise de conscience. Jusqu'à présent nous avons surtout tapé sur la gauche. C'est une erreur. Certes, il est toujours plaisant de constater en notre faveur la nullité intellectuel, culturelle et morale de la gauche. De toute façon ils sont dans une forme de délire : on ne convertira jamais ces fanatiques avec des taux de croissance. Reste que la gauche, malgrés son caractére irationnel, détient le discours public. Celui qui monopolise les média et la société. En fait, c'est probablement grâce à son caractére irationnel que le discours de gauche à autant de succé : l'émotion se translate sans effort du spectateur.

En conséquence, nous devons faire prendre conscience à l'électeur de Droite (60% des électeurs, tout de même) qu'il est contaminé idéologiquement, et que s'il ne réagit pas rapidement, l'absence de la pensé éthique dans la société française finira par légitimer complétement le socialisme. Nous devons lutter pour ne pas nous faire sortir définitivement du champ politico-médiatique. La gauche traite déja de fachistes les libéraux; Imaginez leur dictatures avant dix ans si nous ne réagisons pas.

D'ou une réorientation de mon action : taper à partir de maintenant sur le citoyens éthique, celui qui défend la Liberté, la Morale et la France, bref, taper sur l'électeur de Droite pour qu'il sorte de son sommeil dogmatique, si j'ose m'exprimer ainsi. Nous devons lui faire prendre conscience que le socialisme n'est pas son amis, ni celui du genre humain. Nous devons l'amener à s'affirmer, afin que désormais, déclarer être de Droite dans un diner ne provoque plus un silence génés des convives.
Nous parviendrons ainsi, par le simple nombre, à inverser la charge de la preuve dans l'espace public : être socialiste doit être percu comme honteux.