lundi, novembre 08, 2004

Arrêt de mort

Neufs militaires ont été tués alors qu’ils défendaient les intérêts légitime de la France en côte d’Ivoire.
La France, mandaté par l’ONU pour maintenir la paix entre les factions ethniques de ce pays, est prise pour cible alors que plus de 10.000 soldats de toute l’Afrique participent à cette opération. Et la populace est agité par discours haineux anti-français. L'émeute à conduit à de nombreuses exactions à caractères raciales. Nos 15.000 compatriotes vivants sur place –quelle idée !- sont menacés.


Le sang français à coulé, des représailles doivent donc être organisés. L’agression fut public, la punition doit l’être aussi. La leçon doit être forte et ferme : partout dans le monde, ceux qui d’aventure feraient couler le sang français doivent s’attendre au châtiment suprême. La France est une puissance et veut l’être. Nul ne doit se mettre en travers de notre chemin. La France n’a pas à tolérer cette agression manifeste; il va de son honneur et de celui de nos soldats. La France n’a pas non plus à permettre que des populations de pouilleux menacent ses intérêts. Leurs existence même prouve que la France n’est plus respecté. Des représailles sanglantes sont donc indispensables pour rétablir la crainte. Certes, il est possible que la situation politique présente ne permette pas l’exécution indispensable de la punition. Mais si l’Etat est lent, il est implacable :

Ce n’est pas un pays sous développé de 5éme catégories qui va nous impressionner.
Ce n’est pas un président élus grâce à des manœuvres douteuses qui va dicter la politique de la France.
Que lui et ses complices réfléchissent à deux fois avant de prendre leur prochaine décision : un « accident » est si vite arrivé.



Voir aussi Zek : Je ne suis pas certain