Socialisme
La religion romaine était une religion formel. Elle n'impliquait aucune dévotion ni morale.
Un changement eut lieu avec le Christianisme. Tout à coup, Morale et Religion se confondirent, et Dieu fut le garrant de la Morale. On comprend dés lors que le paganisme Romain ait put acceuillir toutes sortes de Dieux étrangers sans réel probléme. Comme on comprend que cette possibilité soit exclue par la nature même de l'entreprise réussi de moralisation de la religion.
Avec le Socialisme nous constatons un nouveau changement. Ce n'est plus la religion qui est morale, c'est la politique. Bouleversement considérable. Alors que la Politique avait toujours été l'utilisation de la "force du lion et de la ruse du renard" (N.M) pour défendre les interets particuliers du pays, de l'Etat, de l'administration, des fonctionnaires, du Prince, la voila promu comme garrante de la morale, et d'une morale qui, en plus, se veut universelle. Autrement dit, alors que la lutte pour le pouvoir, comme par exemple celle des whigs contre les torries au XVIII siecle, n'est que la lutte de groupes d'interets tout deux amoraux et légitimes, le renversement Socialiste transforme cette simple lutte pour le pouvoir des membres de l'élite en un combat à dimension méthaphysique. Il ne s'agit plus de lutter pour un pouvoir bassement matériel, il ne s'agit plus de défendre les interet de l'Etat, ou même du pays, mais de sauver l'Humanité, la Justice, la Démocratie, la Révolution, etc, etc..
Dés lors le Socialisme considére que tout autre opinion que la siene est illégitime. Ses adversaires ont méthaphysiquement torts : le pluralisme ne lui est pas plus acceptable que le polythéisme pour le christianisme. Ce qui permets d'insulters copieusement ses contradicteurs en toute bonne conscience sans avancer le moindre argument. D'ailleurs le Socialiste de base à toute les qualités, surtout restropectivement : la tolérance, la culture, l'ouverture d'esprit, l'intelligence, et il aurait été résistant en 40 et Dreyfusard en 94.
En ce sens, le Socialisme ressemble à l'Islam, incapable tout deux de concevoir une séparation entre la religion/morale/sphére privé et la politique. L'Imam est aussi un homme politique, tout comme l'homme politique Socialiste est aussi un prétre.
On comprend qu'avec une pareille prétention, le Socialisme laissé à lui même -sans opposition- à put commettre les pires exactions.
On comprend aussi que le Socialisme pour justifier ses échecs inévitables, dû à la contradiction entre l'essence de la politique et l'essence de la Morale, à besoin de boucs émissaires. D'ou une prolifération de Patron, d'Actionnaires, d'Ultra-libéraux, de Fachistes et de Racistes en tout genre qui, dissimulés dans des parties de Droites en apparence honorables, ne cherche qu'un instant favorable pour se déclarer. En attendant ils oeuvrent dans l'ombre en complotant contre les merveilleux projets Socialistes, et sont causes de leurs échecs.
On comprend aussi que le Socialisme cherche à moraliser tous les domaines de l'esprit humain. Quelques soit le sujet, La Grande Question des socialistes est de savoir si c'est morale ou bien non. Et comme cette morale est tres peu définit elle permet toute sorte d'interprétation. Par exemple les Socialistes sont contre les ogm dans les PDM (Pays de Merde), parce que des "multinationales yankee" chercheraient à leur imposer les ogm. Donc les ogm c'est mal. Mais si ces même multinationales REFUSAIENT de vendre aux PDM, aussitôt les même Socialistes crieraient à la discrimination et à l'égoisme des USA. Donc les ogm, c'est bien. En général, ce qui fait le plus souffrir l'occident, la France et les français est la solution retenu, car souffrir prouve qu'on est moral, et faire souffrir rend moral ceux qui souffrent. Et rendre moral les autres, ca prouve bien qu'on est soi même moral, CQFD.
La question est maintenant de savoir comment les Socialistes en sont arrivé à cette idée si folle. Il me semble que nous avons un élément de réponse en constatant l'Anti-christianisme toujours trés fort des Socialistes. Alors qu'ils affichent de la bienveillance pour toutes les autres religions, et que l'Eglise ne représente, si elle l'a jamais été, aucun danger pour l'indépendance nationale. Bien sur, puisqu'ils se pensent être le Bien, le Socialisme lutte naturellement contre l'Eglise. Mais pour en arriver à un tel degrés de moralisme, il a fallut un événement historique assurément trés grave : Les Socialistes sont des catholiques ayant perduent la foi.
Ils ont donc cherché à compenser, désespérement, car "On s'acroche d'autant plus à la morale qu'on à perdu Dieu" (N).
La morale Socialiste est un rebu de l'idéologie d'une fraction des Catholiques, et pas la plus joyeuse, celle des dévots. La peur de l'argent, le sentiment de culpabilité sens cesse cultivé du/des la faute, la survalorisation des pauvres, l'autoflagélation, la confession des fautes, etc..
La meilleur des preuve en est qu'une partie du clergé Français est Socialiste : "On ne peut pas être catholique si l'on est pas de gauche". Que le clergé ait ainsi adopter cette idéologie prouve bien le degrés d'affinité des deux doctrines. Ce qui est normal puisqu'elles ont la même origine.
Une origine qui est insuportable aux Socialistes, et qu'ils rejetent, tout simplement en niant l'histoire de France. Aprés 1789, d'accord, mais avant ?! Vous n'y pensez pas ! Des tyrans, des dictateurs ! Inutile de s'attarder sur cette histoire, histoire chrétienne, justement..
Souvenont nous de P.Bergé, alors directeur de l'Opera bastille, expliquant les larmes aux yeux que c'était un scandale de commémorer le baptéme de Clovis (498)...
PS, Si j'ose dire ;-) :
Il me semble que ceux qui se nomme eux même les libertariens commettent la même erreur, celle de vouloir fonder la Société sur la morale. En ce sens, il reste dans l'orbite socialiste qu'ils prétendent combatre..
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