Je m'ennuie..
Ca arrive.
Tenez, pour s'occuper, on va transférer la politique internationnal de la France dans un quartier pavillonnaire.
Ca donnerai :
M.Chirac :"-Bonjour M.Buisson ! Vous avez l'air pressé ? Ou allez vous ?"
M.Buisson : "-Je vais porter plainte contre mon voisin, AlSaddam."
M.Chirac : "Quoi ?!"
M.Buisson : "Oui, je le soupsonne d'avoir acheté un fusil pour tenter de faire peur à ma famille."
M.Chirac : "Ah, mais vous ne pouvez pas porter plainte comme ca. Il faut d'abord que tout le quartier soit d'accord."
M.Buisson : "Comment ca ?"
M.Chirac : "Oui, vous comprenez, ca regarde la vie de tout les habitants."
M.Buisson : "Et vous viendraient porter plainte avec moi alors ?"
M.Chirac : "Je n'ai pas dit ca."
M.Buisson : "Et bien à quoi peut bien servir l'opinion du quartier alors ? Surtout que c'est tout de même moi qui suis menacé"
M.Chirac : "On n'accuse pas sans preuve, enfin ! Et puis vous êtes trop impliquez pour dicerner clairement quels sont vos vrais interets."
M.Buisson : "Tout de même, il a un casier judiciaire, et il a sauvagement battu M.Lyran et M.Coillette."
M.Chirac : "Oui, et d'ailleur le quartier vous a soutenue quand vous l'avez dénoncé."
M.Buisson : "Dites plutôt qu'il a fait de la figuration. C'est tout de même moi qui ait tout fait dans cette histoire, qui ait pris tout les risques."
M.Chirac : "L'important, c'est que le quartier vous a soutenue, et que maintenant il ne vous soutient pas. Vous comprenez, si chacun s'ammuse à suivre ses interets propres, c'est l'anarchie."
M.Buisson : "Mais pourquoi ?"
M.Chirac : "D'ailleurs on chuchotte que vous êtes un individualiste, à cause de votre grosse maison."
M.Buisson : "Hein ?! Mais j'ai travaillé pour avoir cette maison !"
M.Chirac : "Tandis que M.AlSaddam lui, il est pauvre."
M.Buisson : "Il est pauvre parce que tout son salaire passe dans la boisson. En plus je crois qu'il bat sa femme et ses enfants. Je les entend souvent crier depuis mon jardin."
M.Chirac : "Simplisme ! On n'accuse pas les gens sans preuve. Ce sont surement des coutumes folkloriques de leur pays."
M.Buisson : "Justement, il baisse ses rideaux pendant ces moment là. Envoyons la police, on verra bien. Vous venez ?"
M.Chirac : "Je n'ai pas dit ca. D'ailleurs mes voisins M.Li, M.Ruskov et M.Dutch sont contre cette idée qu'ils trouvent dangereuse."
M.Buisson : "M.Li, ce n'est pas ce mafioso accusé du meurtre de M.Tybé ?"
M.Chirac : "Là n'est pas la question. Vous ne pouvez pas porter plainte tout seul comme cela sans l'autorisation du quartier, ca serait de l'individualisme."
M.Buisson : "Mais alors qu'est-ce qui pourrait vous faire changer d'avis ?"
M.Chirac : "Nous pensons qu'il vaut mieux envoyer une assistante sociale que la police."
M.Buisson : "Une assistante sociale ?! Une assistante sociale contre un poivro violant armé d'un fusil ?! "
M.Chirac : "Au pire des gens du quartier pourraient l'accompagner."
M.Buisson : "Comme vous par exemple ?"
M.Chirac : "Je n'ai pas dit ca."
M.Buisson : "Et M.Li ? Et M.Ruskov ? Et M.Dutch ?"
M.Chirac : "Non, non, non, c'est à M.M'Bala d'y aller."
M.Buisson : "Lui, et pourquoi ? Il n'a pas assez d'ennui déja M.M'Bala ? Pourquoi pas vous plutôt ?"
M.Chirac : "Je suis contre vos méthodes individualistes."
M.Buisson : "Ecoutez, je vais plutôt aller alerter tout seul la police."
M.Chirac : "Quoi !? Mais non vous ne pouvez pas faire cela ! Vous n'avez pas le droit ! Please, stop now! Relisez donc le réglement de l'Association "Péte ta Ville" dont vous êtes membre fondateur."
M.Buisson : "Si vous vous imaginez que je vais risquer la vie de ma femme et mes enfants à cause d'un bout de papier !
D'ailleur, cette association n'est plus du tout celle que j'avais construite, même le nom à changer."
M.Chirac : "Mais This not a method ! vous trahissez vos idéaux !"
M.Buisson : "Et puis en plus il me revient que l'Association à justement averti plusieurs fois M.AlSaddam que s'il poursuivait ses violences, elle porterait plainte contre lui."
M.Chirac : "Mais je conteste cette interprétation des choses ! This is provocation !"
M.Buisson : "Nierez-vous que M.AlSaddam n'a tenu aucun compte de nos nombreux avertissement ?"
M.Chirac : "Do you want me to take my plane ?! Une assistante sociale ! Une assistante sociale ! Il faut lui laisser au moins une derniére chance !"
M.Buisson : "J'ai bien du mal à comprendre votre position.."
M.Chirac : "What do you want ?! C'est de l'individualisme ! On ne peut pas construire un quartier comme cela ! On ne peut pas !"
M.Buisson : "Alors, vous venez avec moi ?"
M.Chirac : "Non."
M.Buisson : "Et si l'association était d'accord, vous viendriez avec moi ?"
M.Chirac : "Non."
M.Buisson : "Et si on envoyait une assistante sociale, vous viendriez la protéger ?"
M.Chirac : "Non."
M.Buisson : "Donc je dois vous demander l'autorisation pour une action ou une autre pour lesquelles vous m'êtes de toutes les façons inutile.."
M.Chirac : "Is that what you want ! Individualiste !"
M.Buisson : "Allez, au revoir M.Chirac, bonne journée.. Au fait, ce n'est pas vous qui emploieriez un des cousin de M.AlSaddam ?"
M.Chirac : "........Facho !"
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